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Rouen Cl@vier 76

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10 décembre 2008

ANPE Médaille d'Argent

La seconde marche du podium revient à l’anpe… Comment raconter cette (més)aventure sans faire long ? Impossible mais je vais résumer au mieux.

 

En juillet 2006 j’ai perdu mon emploi. Inscrite comme demandeur d’emploi le mois suivant, j’ai été suivie individuellement par un conseiller de l’anpe à partir du mois de novembre de la même année. Très marquée par une expérience professionnelle mal terminée (deux dernières années très éprouvantes moralement et physiquement sur six ans), je suis sortie de cet emploi avec la ferme idée de ne plus jamais travailler sous les ordres d’un supérieur hiérarchique et donc de créer ma propre activité de secrétariat indépendant. Je raconterai un jour sur ces pages cette histoire.

 

J’ai donc entrepris recherches et démarches afin de savoir comment faire pour devenir secrétaire indépendante en portage salarial. J’avançais lentement mais sûrement, soutenue qui plus est par mon conseiller anpe fort efficace. Or, quelques mois plus tard, j’ai appris fortuitement que celui-ci ne faisait plus partie du personnel de cette agence et que mon dossier était confié à une conseillère. Cette dernière avait approuvé mon projet mais trouvait qu’il n’avançait pas assez vite. Elle m’a donc aiguillé vers un centre chargé de me suivre de manière plus régulière durant trois mois : l’IFOS.

 

Cet organisme m’a fait passer des tests destinés à cibler une réorientation professionnelle en raison d’un souci de santé que j’ai aux mains et ne me permettant plus d’exercer les fonctions de secrétaire dans des conditions idéales pour un employeur. Trois mois à raison d’un entretien environ tous les 10 jours. Trois mois pour en arriver à la conclusion que j’étais bien autonome dans mes recherches, que mon projet pouvait être validé et que la réorientation professionnelle devait se diriger vers les métiers de la PAO. (Les métiers de l’écriture arrivaient en tête de liste mais bien évidemment, rien n’est permis dans ce domaine non porteur d’emploi). Ces fonctions pouvaient, qui plus est, être insérées aux services que je proposerais en tant qu’indépendante. Tout se déroulait donc parfaitement bien malgré, là encore, un changement de personne dans le suivi de mon dossier.

 

Au sortir de ces trois mois, mes directives étaient d’attendre une nouvelle convocation de l’anpe qui reprenait le dossier en mains. Petit bémol en fin de suivi, j’ai appris qu’encore une fois, j’allais être remise entre de nouvelles mains. Ma conseillère anpe, elle aussi, ne faisait plus partie de l’agence. Sans perdre de temps, j’ai contacté par mail à plusieurs reprises cette nouvelle conseillère qui était en charge de mon dossier. Visiblement excédée de mon empressement, elle s’est contentée de me dire qu’elle ne pouvait me recevoir avant fin avril et que si j’étais pressée je n’avais qu’à venir sans rendez-vous pour être reçue par un conseiller.

 

Voilà qui donnait le ton d’une situation qui allait empirer. Fin avril donc, je me suis rendue à ce rendez-vous avec un drôle de pressentiment… et la suite allait me donner raison. Là je me suis retrouvée face à une personne qui n’avait à l’évidence aucune connaissance de mon dossier auquel il manquait le bilan remis par l’IFOS fin février 2007. Elle ne jurait que par les statistiques et a descendu en flèche tout mon projet professionnel. Jamais elle n’aurait validé un projet de secrétariat indépendant, jamais elle ne m’aurait dirigé vers la PAO car il y a trop peu d’emploi dans ce domaine sur Rouen. Elle n’était pas non plus d’accord pour que j’envisage des CDD ou missions d’Intérim dans l’urgence. Elle affirmait que dans ce cas, je devais me faire radier des demandeurs d’emploi ! Or, que je sache, n’importe qui peut s’inscrire pour chercher un emploi, même s’il est en poste, même s’il cherche des missions de courte durée. Elle voulait en fait me rediriger vers un emploi de secrétaire à plein temps malgré les informations que contenait mon dossier (qu’elle n’avait pas). Elle n’avait conservé du dossier de l’IFOS que mon CV, ce qui revient à dire que je venais d’être suivie pour rien durant trois mois. Pour achever le tout, elle s’est permis de me suggérer de me faire déclarer handicapée à cause du souci que j’ai aux mains.

 

J’ai été outrée d’une telle attitude, lui répondant très franchement que j’étais choquée de sa façon de faire que je ne trouvais pas professionnelle et que, moi dont le compagnon est vraiment handicapé, je trouvais honteuse une telle suggestion. Je suis sortie extrêmement perturbée de cet entretien qui n’a eu pour conséquences que de me freiner dans tout ce que j’avais entrepris. Je ne savais plus où j’en étais. Et je ne pouvais pas laisser passer une telle bévue.

 

J’ai écrit à la chef d’agence, j’ai écrit partout en haut lieu aux autorités concernées qui m’ont promis que j’allais être reçue par la direction régionale de l’anpe. J’attends toujours….

 

La chef d’agence m’a reçue en mai 2007 et en a déduit qu’il était préférable de confier mon dossier à un autre conseiller. Et re… En juin, j’ai donc eu mon premier entretien avec une femme qui suit toujours mon dossier à l’heure actuelle. Si les administrations regorgent d’incompétents, il est aussi des perles et cette femme que j’ai vue deux fois s’est révélée compréhensive, gentille, professionnelle, cherchant toujours une solution. Grâce à elle j’ai pu reprendre confiance en moi et envisager l’avenir autrement même s’il n’était pas financièrement glorifiant. Je devais en effet attendre de faire partie des minima sociaux afin de bénéficier de cette formation en PAO. (je raconterai cette absurdité ultérieurement).

 

Je suis enfin entrée en formation le 1er décembre 2008, soit presque un an après le début de mon suivi par l’ifos. Je ne sais pas encore ce que je deviendrai professionnellement mais pour l’instant je me consacre à cette réorientation ET à l’écriture l’autre partie du temps. Je commence à sortir peu à peu d’un brouillard épais en espérant qu’il n’y aura que du positif au bout.

 

Je ne sais si cette conseillère est encore en poste mais ce n’est en tout cas pas grâce à elle que je remonte la pente aujourd’hui. Bien au contraire ! C’est à cause d’elle que j’ai stoppé toute progression dans l’élaboration de mon projet. Si les conseillers étaient rémunérés selon leurs compétences, je serais heureuse de l’accueillir parmi les minima sociaux aujourd’hui…. Bon courage à ceux dont elle a les dossiers entre les mains !

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1 décembre 2008

GDF Médaille d'Or...

S’il fallait remettre une médaille de la mauvaise foi, GDF en aurait une haut la main. Et j’irais même jusqu’à leur décerner la meilleure place sur le podium.

 

En février 2008, j’ai fait appel aux services sociaux afin que mes factures d’énergie soient prises en charge. On y a droit une fois par an sous certaines conditions de ressources. Je suis donc vaillamment allée voir mon assistante sociale de secteur qui a monté le dossier auprès du département et du FSL (Fonds Solidarité Logement).

 

De mon côté, la procédure était de verser pour chaque organisme (donc EDF et GDF) un mandat de 10€, ce que j’ai fait. Sur ma facture du mois d’avril, le solde résiduel était donc de la somme précédente moins les 10 euros. Je n’ai pas tenu compte de ce résiduel dans mon règlement, joignant à mon paiement un mot explicatif précisant les démarches entreprises.

 

En juin, ce fameux solde était une fois de plus reporté. Là encore je n’en ai pas tenu compte. En août, ce solde était descendu de moitié, il semblait donc que le FSL avait versé une partie de la somme à GDF mais pas la totalité.

 

Pour la précision, sur le montant pris en charge par le FSL, 50% étaient versés sous forme de subvention et 50% sous forme de prêt. Je rembourse donc le FSL chaque mois jusqu’à épuisement de la part que je dois.

 

En octobre, j’ai ENCORE reçu une facture faisant toujours apparaître ce solde que je ne dois à personne. En septembre je m’étais déjà manifestée, par mail, par voie postale etc. En octobre j’ai donc récidivé de manière un peu plus agacée il est vrai. Mais après 8 mois il y avait de quoi… J’ai passé plus d’une demi-heure au téléphone (en 08…) à avoir une interlocutrice qui a décortiqué mon dossier et a fini par se contredire, prétendant que la somme avait bien été versée deux fois puis une seule fois. Sa conclusion était donc que je devais bien le solde résiduel. Motif : le FSL n’est pas le client, c’est donc à moi de payer. Ce à quoi je lui ai répondu que dans ce cas ce système d’aide n’a aucun intérêt si c’est pour devoir se battre ensuite avec les organismes.

 

Ce n’est pas faute de leur avoir apporté les preuves que je ne leur devais rien de rien ! Mais il n’y avait rien à faire, je me trouvais face à un mur, la politique de l’autruche dans toute sa splendeur. J’ai fini par contacter le FSL qui m’a confirmé le versement des deux montants égaux en me fournissant les numéros des mandats qu’ils ont fait à GDF. Malgré ça GDF s’entêtait…

 

En novembre, j’ai profité d’un nouveau rendez-vous avec mon assistante sociale pour lui soumettre le problème. Devant moi, elle a joint la cellule solidarité de GDF à qui elle a expliqué le cas, haut-parleurs activés et mes courriers sous les yeux. Son interlocutrice a confirmé avoir bien reçu les deux mandats et expliquait le résiduel par le fait que je devais sans doute une somme oubliée… somme qui, bien entendu, était comme par hasard égale au montant de l’aide…

 

La conversation s’est terminée sur une promesse et de rappeler l’assistante sociale, et de me rappeler moi. Peine perdue, je n’ai jamais eu ce fameux appel. Reprenant mon calme, chez moi, à tête reposée, j’ai repris toutes mes factures depuis le début de l’année 2008. Il s’avère que l’erreur vient bien d’eux. Sur la facture du mois d’août 2008, ils ont diminué le résiduel de moitié comme s’ils n’avaient reçu la somme qu’une fois alors qu’ils ont bien eu deux versements.

 

Et je me bats encore et encore. Je leur ai à nouveau fourni toutes les preuves, y compris les scans de mes factures, les numéros de mandat du FSL et un récapitulatif de la situation, un bel historique. Bref j’ai fait le travail à leur place… A ce jour j’attends une fois de plus leur réponse, en espérant qu’ils vont enfin cesser toute relance et menace de coupure d’énergie dont je commence sérieusement à me lasser…

 

Fort heureusement, jamais je n’ai eu un seul ennui avec EDF pour cette prise en charge, comme quoi…

 

A suivre donc….

21 octobre 2008

Réorientation et Newsletter

Voilà bien longtemps que je n'ai pas mis à jour mon blog. Et pour cause, j'ai rencontré ces 6 derniers mois (parfois plus) tant de déboires que ce blog n'a plus la même vocation. Mon projet professionnel, pour des raisons très diverses et qui se sont  parfois cumulées, n'a pu voir le jour pour le moment. J'ai navigué d'injustices en incompréhensions sans compter les lenteurs ou erreurs administratives.

Scandalisée par tout ceci, j'ai décidé, en revanche, d'expliquer ici dans des catégories spécifiques, les déboires adminsitratifs qui font qu'aujourd'hui, je me trouve bénéficiaire de l'Allocation Spécifique de Solidarité alors que cela aurait pu très certainement être évité. A croire que lorsqu'on est en bas de l'échelle, il y a toujours quelqu'un pour vous y maintenir... Cela ira donc de mes soucis professionnels comme plus personnels liés à la précarité. Si vous vous reconnaissez dans ce qui sera dit, n'hésitez pas à laisser un commentaire.

Je propose également à dater de maintenant une inscription à une newsletter du blog. Cette inscription vous permettra non seulement de recevoir cette lettre d'informations mais également d'être avertis lorsqu'un nouveau message sera posté sur le blog. Si vous désirez conserver l'anonymat, il suffira de l'indiquer dans le détail de l'inscription, ainsi votre adresse mail ne figurera pas dans les données du blog. En second lieu vous devrez valider le lien que vous recevrez par mail pour finaliser l'inscription.

A bientôt donc et merci à ceux qui s'inscriront.

14 mars 2008

Les Incompréhensions

Parfois je me demande si je m'exprime comme il faut et si l'expression "secrétaire indépendante" est saisie pour ce qu'elle veut dire. Lorsque je constate certains quiproquos, certaines incompréhensions flagrantes, je me dis "zen"... allons de l'avant malgré ça.

Premier exemple : je contacte les lycées de ma région afin de proposer au personnel enseignant mes services (préparation des cours etc). Pour aller plus vite, je m'adresse directement aux directeurs d'établissement. L'un d'entre eux me répond par courrier qu'il a bien reçu ma demande pour un emploi de secrétaire mais que tous les postes sont pourvus actuellement. Gros point d'interrogation de ma part. Si un papier en-tête, une lettre explicative et un autre document ne suffisent pas à être assez claire sur le but de ma démarche, je me demande en quelle langue il faudrait alors que je m'exprime.

Second exemple : un ancien collaborateur professionnel me contacte pour me faire travailler. Parfait ! Nous nous donnons donc rendez-vous et pendant une bonne heure, nous passons en revue le document qu'il souhaite que je saisisse. Estimation du temps nécessaire : 3 heures en moyenne pour effectuer le travail. Ca coince, lui prétend dur comme fer que 2 heures sont amplement suffisantes. Nous avons travaillé ensemble durant 6 ans, il devrait donc savoir comment je travaille (perfectionniste) et que je sais de quoi je parle. Second hic : le tarif horaire... que je baisse mais ça ne va toujours pas.

D'un coup ce travail qui était urgent le devient beaucoup moins, il remballe tout en me disant qu'il fera faire ça par des copains et repart (avec des photocopies que je lui ai faites gracieusement). Ce travail, qui aurait été payé au noir, était vu par lui comme un petit boulot pour me faire travailler. Moi je ne le voyais pas ainsi mais comme une réelle mission.

Je n'apprécie pas les sourires en coin parce que je présente aux gens un document publicitaire. Je ne fais pas l'aumône pour arrondir mes fins de mois. Je recherche un réel travail (celui-ci aurait pu en être un). Toute peine mérite salaire et le tarif que j'applique n'est pas calculé au hasard sur un coup de tête mais d'après des bases précises. Il se situe de plus dans la moyenne des tarifs horaires que je constate chez d'autres secrétaires indépendantes.

L'incompréhension dans ce cas précis vient peut-être du fait que nous avions déjà travaillé ensemble et qu'il pensait qu'à ce titre j'allais accepter un tarif étudiant. C'est fou comme les gens sont tout sourire lorsqu'ils pensent que vous allez leur rendre service contre "une pièce" mais comme le sourire se défait lorsque vous leur faites comprendre que pour vous c'est professionnel.

Moralité : j'ai perdu un bon contact parce que j'ai refusé de me sous-évaluer et par là même de sous-évaluer la profession que j'exerce. Dommage que l'incompréhension ait de telles conséquences.

8 janvier 2008

TARIFS ET PRESTATIONS

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Pour télécharger mes prestations au format pdf, cliquer sur le lien suivant.

Tarifs sur demande. Devis gratuit personnalisé et adapté.


"PRESTATIONS"


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27 novembre 2007

Commerce ou entraide ?

On dit qu'il faut toujours se méfier de l'eau qui dort...

Arrive l'ère dans laquelle je me permets de raler, contredire, de m'énerver et j'en passe. J'aimerais souhaiter tout le courage du monde à celles qui, comme moi, tentent de créer leur activité à domicile sans créer juridiquement l'entreprise. Les barrières se dressent, les aides sont inexistantes ou presque. Bref débrouillez-vous et si vous n'avez pas trop de moyens, on vous invite gentiment à revenir à la case départ. On ne prête qu'aux riches dit-on, ou l'argent va à l'argent.

Je vais finir par croire que ces dictons sont fondés. Que dire de certains appels que j'ai reçus dans le cadre de mes recherches, de la part de personnes dites bien intentionnées qui m'ont en fait fait comprendre que mon travail n'était ni fait ni à faire et que sans un minimum d'investissement ce n'était même pas la peine d'aller plus loin ?

Il y a des mois de cela, j'avais trouvé sur le net une formation en télésecrétariat dispensé par un organisme privé ensensé par des personnes comme moi ayant voulu créer leur activité à domicile. Bien évidemment ces personnes avaient fourni des témoignages positifs, juste retour des choses. Echange. Publicité déguisée et j'en passe. Cette formation s'élève à plus de 500 euros tous modules compris. A l'époque j'avais tenté de faire jouer une participation de l'ANPE. Oui mais... lorsqu'il a fallu demander au dit organisme son numéro d'inscription au registre des organismes formateurs, le son de cloche a changé. Réponse : on ne souhaite pas dévaloriser l'image de notre formation en l'associant à une aide étatique fournie pour les plus démunis. Et boum !!!!!!!!

Second cas. Voilà quelques mois, je décide de m'inscrire sur un site réseau de télésecrétaires. Je remplis scrupuleusement en ligne les renseignements demandés. Quelques jours après, je reçois un appel d'une personne appartenant à ce réseau qui, en une heure de temps, a descendu en flêche tout mon projet. Je m'y prenais mal (peut-être), je passais pour l'inculte du coin parce que je n'étais pas au courant de certaines informations. Et surtout... si je n'avais pas un minimum à investir financièrement je ferais mieux de retrouver un travail dans la voie classique afin de me refaire une santé financière et ensuite d'envisager mon activité. Le conseil n'était pas si bête en soi certes, mais s'entendre dire que si on est pas assez riche ce n'est pas la peine de poursuivre a de quoi faire bondir plus que rebondir. Surtout lorsque le ton employé tout au long de la conversation est loin d'être diplomate. Prendre une heure de son temps pour m'appeler était une intention louable. Ensuite il y a manière et manière de parler.

J'ai suivi les conseils de cette personne après avoir encaissé le lynchage téléphonique (je l'ai pris comme tel). Je devrais donc rentrer dans ses critères et pourtant je n'ai aucune nouvelle. Mais son choix de ne pas m'accepter dans son réseau était déjà visiblement fait. Parfois au lieu de critiquer il vaut mieux indiquer à l'autre comment on a fait soi-même pour le faire avancer. Je ne fais pas partie de celles qui avancent lorsqu'elles sont poussées à bout et critiquées négativement. Quand on marche sur le même terrain qu'une personne déjà installée ce n'est pas si bien vu que ça. Voilà la triste conclusion que j'en tire.

Cette personne a terminé en me conseillant vivement l'achat d'un livre spécialisé afin de m'aider dans mes recherches. J'ai cherché sur le net et trouvé. Bizarrement, le site vendeur du livre était en partenariat direct avec l'autre site. Surprenant que des personnes en partenariat ne se souviennent pas d'emblée du titre du livre pour lequel elles font en fait la publicité. Un livre j'en ai trouvé un, mais ce ne sera pas celui-ci. Ce que l'on croit être vendeur ne l'est pas forcément. Si j'avais eu au téléphone un autre accueil peut-être me serais-je dirigée vers l'achat du livre recommandé.

Contacter d'autres personnes dans la même position est conseillé. Qu'à cela ne tienne je l'ai fait. MAIS les autres télésecrétaires vous voient comme une concurrente et se contentent de vous remercier de les contacter en prétendant qu'elles sont à votre disposition alors qu'elles trouvent toutes les excuses pour vous dire qu'au final elles ne le sont pas (surchargées, trop occupées pour répondre etc etc). Il ne faut pas marcher sur les plates-bandes d'une autre ! Lorsque vous leur demandez comment elles ont concrètement fait pour cibler une clientèle, il n'y a plus personne. Donc soit vous tombez sur celles déjà "installées" qui se méfient de vous, soit sur celles qui, dans la même position, galèrent aussi ou tatonnent dans l'approche du projet.

Quant à ces réseaux ou autre sites regroupant des télésecrétaires, je finis par me poser la question du bien-fondé de leur action. J'ai fini par retourner des semaines après sur le site en question. J'y ai surtout vu des copies d'articles de presse faisant état de la création de branches géographiques et, très surprise, j'y ai découvert un lien menant vers une boutique vendant des objets au logo du réseau. J'ai dû rater un épisode.

Commerce ou entraide ? Que ce soit pour ce réseau ou pour le site de formation en télétravail, une conclusion s'impose malheureusement. Faire ses preuves financièrement autant que professionnellement est indispensable sinon vous n'êtes pas acceptés. C'est le serpent qui se mord la queue, le principe de l'employeur qui ne veut pas un débutant. Il faut bien commencer un jour. Si personne ne vous laisse une chance cela s'avère bien difficile.

Accrochez-vous vous qui souhaitez créer votre activité, vous n'êtes pas au bout de vos peines.




19 novembre 2007

Aides ciblées

Après de nombreux mois de recherches diverses, mon projet se trouve en partie bloqué pour une "ridicule" question d'aide financière.

Pour résumer, je ne souhaite pas créer juridiquement mon activité, juste passer par le système du portage salarial. Je saute donc certaines étapes de création d'activité telles qu'on les comprend habituellement.

Le nerf du sujet actuellement est de trouver des missions. Mes indemnités Assédic étant ce qu'elles sont, j'ai demandé une aide même minime à cet organisme afin de pouvoir avancer un peu plus vite avant le point de non retour (les allocations ne sont pas éternelles).

Réponse de l'Assédic : il existe des aides à la formation, à la mobilité, à la création d'entreprises. Mais il est impossible d'obtenir quoi que ce soit pour financer l'achat d'un simple livre spécialisé pouvant aider à l'avancement de mon projet puisque je ne crée pas juridiquement l'entreprise.

Aberrant, hallucinant, scandaleux et j'en passe... Que sont quelques dizaines d'euros par rapport à plusieurs milliers d'euros nécessaires pour les aides existantes ? Colère et rage cotoient aisément en moi en ce moment blessure et sensibilité.

Je suis effarée de m'entendre dire qu'une prime de Noël est réservée aux minima sociaux dont le montant de mes allocations n'est pas si éloigné. Mais, parce qu'il y a un mais, la dénomination de l'aide et la provenance ne sont pas les mêmes. Je ne peux donc en bénéficier. Pas de dérogation, pas de commission spéciale.

Je n'ai qu'à gentiment attendre de faire partie de ces minima sociaux pour que tous les droits ou presque se débloquent. Mais quelle est cette mentalité que l'on nous pousse à avoir ?

On tente de s'en sortir et on vous encourage ni plus ni moins à vous enfoncer vers cette catégorie sociale qui bénéficie de tout parce qu'elle n'a plus rien.

Bel accompagnement personnalisé en effet ! Bienvenue sur la route qui descend tout droit en enfer !

Je suis écoeurée...

15 juin 2007

Lien annonce

Pour ceux qui seraient intéressés, j'ai déposé sur le site Communes76 une annonce afin de trouver des clients.
Le site a un blog dans lequel je figure également en lien.

Je les remercie de ce geste.

Si vous souhaitez faire un tour sur ce site très complet consacré au 76, c'est par ici. Lien vers mon annonce :

http://www.communes76.com/cherch.php?cat=8&sscat=4


12 mars 2007

Petit à petit

Lentement mais sûrement mon projet se dessine. De champ en friche me voilà arrivée à un jardin un peu mieux dégagé, éclairci même s'il contient encore des mauvaises herbes. En résumé il y a encore du pain sur la planche mais j'y vois un peu plus clair.

 

La route de l'entreprise individuelle se dessine doucement à l'horizon. J'ai assisté il y a quelques semaines à une réunion d'information dispensée par la Chambre de Commerce et d'Industrie de Rouen. Une matinée entière à ingurgiter des données certes utiles mais un peu déconcertantes pour la novice que je suis.

 

Première barrière : je dépends de la Chambre de Commerce ou de la Chambre des Métiers ?... A étudier de près selon les prestations que je compte fournir. Et plein d'autres informations encore à prendre en compte. Ce n'était qu'une première réunion et je pense pour le moment m'arrêter là.

 

En effet, j'ai pris la décision de confirmer mon souhait de travailler par le système de portage salarial. Je connais une société disposée à me prendre à condition que je trouve une mission bien évidemment. Je préfère donc axer mon énergie sur la recherche d'une clientèle.

 

En résumé pour ceux qui souhaiteraient faire de même :

  1. Mettre noir sur blanc les services que vous pouvez proposer en fonction de votre expérience et de vos moyens matériels
  2. Cibler les sociétés, entreprises et autres susceptibles d'être intéressées par ces services
  3. Etablir rigoureusement une grille de tarifs que vous souhaitez appliquer sans aller dans les extrêmes (ni trop élevés ni trop faibles). Consulter pour cela d'autres sites de télésecrétariat.
  4. Prévoir un mail d'accompagnement vendeur. Pas toujours facile. Concision et précision suffisent si un document plus explicatif accompagne le mail.

Voilà de manière rapide les quelques éléments à prendre en compte pour démarcher. J'ai moi-même pas mal galéré avant de savoir par où commencer. Reste à trouver une mission pour débuter sans trop d'encombres et sans paperasserie administrative imposée par la création d'entreprise.

 

Le portage salarial est à mon sens la bonne solution pour se donner le temps de faire ses preuves avant de se lancer dans cette aventure de la création d'entreprise. Faire ses marques avant d'aller au hasard...

 

Un remerciement tout particulier pour Patricia Xxx qui, tout comme moi, a eu cette idée de créer son entreprise de télésecrétariat et dont les renseignements m'ont été et sont toujours très précieux.

12 mars 2007

Le portage salarial

Parmi les différentes possibilités qui s'offrent pour un travail à domicile, le portage salarial est un bon compromis qui, pour ma part me tenterait beaucoup.

Il s'agit en fait de passer par l'intermédiaire d'une société dite de portage salarial à qui est facturée la mission de travail qui concerne le salarié. Cette société de portage s'occupe de toutes les démarches de déclarations officielles pour vous et vous verse votre salaire en fin de mission.

Les avantages :

  1. Maintien d'une couverture sociale

  2. Maintien des allocations de chômage (repoussées le temps de la mission)

  3. Pas de souci de gestion administrative/comptable et autres déclarations légales

Les inconvénients :

  1. Salaire d'environ 50% du montant initial de la facturation (frais de gestion divers + commission de la société de portage salarial)

  2. Les sociétés de portage ne mettent pas toujours en lien les sociétés demandeuses et les travailleurs indépendants. A vous de vous débrouiller pour trouver des missions.

  3. Ces missions concernent de vastes domaines mais une lacune cependant, le secrétariat est très peu présent.

Pour ma part, me voilà donc en quête de contacter individuellement les sociétés de portage afin de leur proposer mes services car le télésecrétariat peut regrouper bon nombre de domaines d'activité. Si ces domaines sont référencés sur les sites de portage, en revanche, il est très rare d'y trouver des traces de propositions en rapport avec le secrétariat.

Quand on débute on ne sait pas trop comment s'y prendre pour se faire connaître. Là est tout le souci. J'invite donc des sociétés de portage à me joindre par mail (contactez l'auteur) afin d'entrer en contact avec moi pour que je leur explique mes motivations.

J'ai mis dans mes liens certaines sociétés de portage salarial où le système est bien mieux expliqué que je ne peux le faire. Ne pouvant tout indiquer, j'indique l'adresse d'un site regroupant ces sociétés, le guide du portage. En espérant que mes démarches porteront leurs fruits...

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